Dans les coulisses de nos serres.
Connaissance
Connaissance
Mais finalement, nous nous sommes rendu compte que la culture en serres l’hiver comporte son lot de défis aussi.
L’été on déploie des tonnes de stratégies pour éviter à nos tomates de souffrir de la chaleur, de l’humidité et nous essayons toujours de préserver leur énergie vitale pour les aider à croître dans les meilleures conditions.
En hiver, on peut mieux moduler les paramètres et optimiser les choses. On compense la lumière avec un éclairage adéquat, on chauffe en conséquence sans gaspiller l’énergie, on irrigue selon l’âge du plant et ses besoins. Contrôler à la perfection tous les paramètres reste un casse-tête constant et un défi majeur.
Nous ne nous éloignons jamais de nos serres en hiver, car les risques sont bien plus élevés de perdre notre récolte à cause d’un bris mécanique, d’un ajustement technologique ou d’intempéries comme le verglas par exemple.
C’est intense; il faut être extrêmement vigilant et garder la tête froide, car les risques sont réels.